Décidément, il s'en passe des choses à Fandene !
Un petit village qui ne paie pas de mine, et pourtant, il s'en passe des choses à Fandene !
Tout est parti de l'idée de parrainage ... le parrainage d'enfants ...
Ici, l'enfant est une personne dans son entier ... Pour aller à l'école, il a certes besoin de maitres, de locaux, ... mais aussi d'etre en bonne santé ...
Ces mots sortent de la bouche de Daniel MBAYE et Bernard DIOP, dans les locaux de leur association, au coeur du village de Fandene ...
Au fil des années, ce sont donc différents projets qui ont été menés par ce "programme de développement de l'enfant et de sa famille (PDEF) de Fandene, géré par Daniel, Bernard et leurs adjoints, dans le cadre de l'ONG "Christian Children Found". Un parrainage d'enfants de familles aux faibles revenus (moins de 50 000 FCFA par mois), ce qui représente plus de 330 familles sur le village, 1 200 enfants ... dont 730 d'entre eux sont parrainés par des donateurs américains et français essentiellement, pour un montant d'environ 10 dollars US par mois environ.
Hier et encore aujourd'hui l'école, puis peu à peu, le dispensaire, la vaccination, tout cela en partenariat avec la Mutuelle Santé villageoise qu'ils ont créé, la maison familiale et rurale ... 20 % des sommes collectées est cnsacré à l'administration, et notamment aux salaires des cinq permanents sur place, le reste est consacré aux services aux enfants et leurs familles : locaux, école, mobilier, points d'eau, literies, moustiquaires, mutuelle santé. A chaque action, il est demandé une participation minime des familles.
Au niveau du village, l'agriculture vivriere est assez développée, la plus grande difficulté des villageois semblant etre l'eau et les maladies cryptogamiques. Dans les années 70, on cultivait du riz ici. Aujourd'hui, la sécheresse a gagné du terrain et les cultivateurs se retrouvent démunis. Au prix de l'eau, ils n'osent plus ou n'ont plus les moyens de cultiver ... et puis le forage a ses limites ... Un autre problème, c'est la lutte contre les maladies... A l'heure actuelle, leur seule solution, ce sont les pesticides chimiques vendues à Thies, la grande ville d'a coté.
Leur objectif actuel vise a favoriser les AGR, autrement dits, d Activites génératrices de revenus afin de reduire la dependance aux parrains et d aller vers de plus en plus d autonomie. Aujourd hui, les 3 / 4 de leur budget provient du parrainage et 1/4 est issu de leur propre fonds de ressources. Plusieurs projets ont vu le jour : mise en location de materiel pour la salle polyvalente; mise en place d une quincaillerie, un porcin et une chevre par enfant... Tout ceci contribue au developpement du village et est tres rentable aux familles.
La suite plus tard, les minutes s'epuisent au cyber café !
Céline
Tout est parti de l'idée de parrainage ... le parrainage d'enfants ...
Ici, l'enfant est une personne dans son entier ... Pour aller à l'école, il a certes besoin de maitres, de locaux, ... mais aussi d'etre en bonne santé ...
Ces mots sortent de la bouche de Daniel MBAYE et Bernard DIOP, dans les locaux de leur association, au coeur du village de Fandene ...
Au fil des années, ce sont donc différents projets qui ont été menés par ce "programme de développement de l'enfant et de sa famille (PDEF) de Fandene, géré par Daniel, Bernard et leurs adjoints, dans le cadre de l'ONG "Christian Children Found". Un parrainage d'enfants de familles aux faibles revenus (moins de 50 000 FCFA par mois), ce qui représente plus de 330 familles sur le village, 1 200 enfants ... dont 730 d'entre eux sont parrainés par des donateurs américains et français essentiellement, pour un montant d'environ 10 dollars US par mois environ.
Hier et encore aujourd'hui l'école, puis peu à peu, le dispensaire, la vaccination, tout cela en partenariat avec la Mutuelle Santé villageoise qu'ils ont créé, la maison familiale et rurale ... 20 % des sommes collectées est cnsacré à l'administration, et notamment aux salaires des cinq permanents sur place, le reste est consacré aux services aux enfants et leurs familles : locaux, école, mobilier, points d'eau, literies, moustiquaires, mutuelle santé. A chaque action, il est demandé une participation minime des familles.
Au niveau du village, l'agriculture vivriere est assez développée, la plus grande difficulté des villageois semblant etre l'eau et les maladies cryptogamiques. Dans les années 70, on cultivait du riz ici. Aujourd'hui, la sécheresse a gagné du terrain et les cultivateurs se retrouvent démunis. Au prix de l'eau, ils n'osent plus ou n'ont plus les moyens de cultiver ... et puis le forage a ses limites ... Un autre problème, c'est la lutte contre les maladies... A l'heure actuelle, leur seule solution, ce sont les pesticides chimiques vendues à Thies, la grande ville d'a coté.
Leur objectif actuel vise a favoriser les AGR, autrement dits, d Activites génératrices de revenus afin de reduire la dependance aux parrains et d aller vers de plus en plus d autonomie. Aujourd hui, les 3 / 4 de leur budget provient du parrainage et 1/4 est issu de leur propre fonds de ressources. Plusieurs projets ont vu le jour : mise en location de materiel pour la salle polyvalente; mise en place d une quincaillerie, un porcin et une chevre par enfant... Tout ceci contribue au developpement du village et est tres rentable aux familles.
Et la, quelle ne fut pas notre surprise lorsque l on a appris que leur dernier projet; etait un projet de verger en agro ecologie avec le centre N Diemane...que nous allons visiter des demain, puisqu il fait partie de notre programme; Sahel People Service fait partie du reseau de Terre et Humanisme.....
La suite plus tard, les minutes s'epuisent au cyber café !
Céline